PBLV Épisode du 2 juillet : Samuel au bord du gouffre, la guerre éclate entre Ophélie et Apolline

Mercredi 2 juillet dans Plus belle la vie, encore plus belle, la tension monte d’un cran à la résidence Massalia, où la rivalité entre Apolline et Ophélie dégénère. Pendant ce temps, Babeth tourne une page, et Samuel, en plein sevrage, sombre dans le désespoir le plus total.

Ophélie et Apolline : une rivalité qui explose

Un simple achat tourne à la mauvaise blague pour Aya, qui reçoit une dînette au lieu du set de casseroles commandé. Arnaquée, elle se confie à Ophélie, qui se propose d’en parler à son frère Ulysse. L’avocat accepte, malgré une charge de travail importante depuis le départ d’Apolline.

Alors qu’Ophélie explique à Aya la marche à suivre pour porter plainte, Apolline surgit et propose son aide, mettant le feu aux poudres. Ophélie explose : la guerre est déclarée entre les deux femmes, et Aya se retrouve malgré elle au cœur du conflit.

Babeth ferme la porte à Mathieu, une bonne fois pour toutes

De leur côté, Babeth et Patrick affichent fièrement leur complicité retrouvée. Leur couple semble renaître après les turbulences des derniers jours. Mais cette reconstruction passe par une étape décisive : Babeth confronte Mathieu.

« Oublie ce baiser. Et reprends ta lettre. »

Avec ces mots simples mais fermes, elle clôture leur histoire avortée. Une décision difficile, mais nécessaire pour reconstruire son couple avec Patrick.

Samuel au bord du suicide, Gabriel et Idriss lui sauvent la vie

Dans l’ombre, Samuel traverse l’épreuve la plus difficile de sa vie. En plein sevrage, il lutte contre l’appel obsédant de son addiction. Jennifer, désemparée, regrette d’avoir pris ses distances. Gabriel, lui, fait tout pour l’accompagner dans sa désintoxication.

Mais Samuel s’effondre. Il prend la voiture de service et disparaît. Injoignable, il laisse un SMS alarmant à Jennifer. L’inquiétude grandit au cabinet médical : aurait-il emporté son arme de service ?

Idriss et Gabriel parviennent à localiser le véhicule. Sur place, ils découvrent Samuel, assis, son arme braquée sur lui-même. La scène est tendue, le silence pesant. Idriss tente de le raisonner, lui parle calmement, jusqu’à ce que le jeune policier finisse par céder… et relâche enfin son arme.

Un moment glaçant, qui laisse entrevoir l’ampleur du mal-être de Samuel, mais aussi l’importance de ceux qui l’entourent.